

C’est partie pour une nouvelle restauration. Une coccinelle cabriolet de 1967 qui a été arrêtée il y a une vingtaine d’années et passée entre diverses mains pour être restaurée mais personne n’a réellement lancé le projet.



La coccinelle est partie au sablage afin de traiter tout les points de corrosion. Initialement seul les renforts de longerons devaient être remplacés. Finalement les longerons qui présentaient bien montrent finalement de grosse traces de corrosion. Nous prendrons finalement la décision de les remplacer également.





Fabrication des supports pour brider la caisse, remplacement des longerons gauche puis droit.



Montage du chassis pour ajuster le tout et des portes pour régler les jours de portes.





Réparation de la joue d’aile gauche, remplacement de la joue d’aile droite complète à droite compte tenu de grosse déformations bien camouflés sous le mastic.




Remplacement des pied de portes, montage du train avant avec le chassis afin de fignoler les jours.





Les travaux se poursuivent sur le bloc arrière, remplacement de la tôle de coffre arrière, remplacement des pointes arrières et des supports de chassis.





Une fois les soudures terminés, la caisse sera à nouveau décapée pour être redressée au tire clou puis traiter au brun rouge phosphatant. La caisse recoit un apprêt polyester.





Même traitement pour les ouvrants (portes, capots, ailes).
Une fois les derniers défauts éliminés, l’ensemble recoit un apprêt de finition.




Les passages de roues recevront un blaxon fin avant d’être peint. Toutes les tôles changées seront jointées afin d’éviter les entrée d’eau entre les différentes tôles.





Le client a décidé de la couleur avec une teinte bleu du nuancier de l’année 1967.


Même traitement sur les ouvrants, pendant que cela sèche tranquillement, Julien s’occupe de terminer les ailes qui elles aussi seront peintes intérieur/extérieur.


A ce stade de la restauration, cet article de quelques lignes et de photos aura nécessité pas moins de 280 heures de travail de carrosserie pour en arriver a ce degré de restauration.
Pour résumer, peu importe le modèle ou la marque que l’on choisit, une restauration dans les règles coutent beaucoup d’argent et comporte toujours des surprises.

Pendant ce temps, nous nous sommes occupés de réparer le chassis puis de le faire sabler et le faire peindre à l’époxy, le remontage de celui ci va débuter. La suite en 2026.


